Luanda – L’éducation environnementale constitue un des principaux facteurs de changement de comportement et de transformation mentale axés sur un développement durable et harmonieux de la société.
C’est ce qu’a fait savoir dimanche, à Luanda, le ministre de la Culture, du Tourisme et de l'Environnement, Jomo Fortunato, lors de la cérémonie du 31 janvier, Journée nationale de l'environnement, ajoutant que son secteur envisageait des actions qui vont dans le sens de protection de l'environnement afin de garantir le bien-être des Angolais.
Les actions du secteur de la préservation de la nature sont inscrites dans le plan stratégique et des politiques nationales sur la biodiversité, la qualité de l'environnement, le changement climatique et l'assainissement, entre autres programmes, a-t-il souligné.
Lors des célébrations de la semaine nationale de l'environnement, débuté le 27 de ce mois et qui termine le 3 février, le gouvernant a informé que son portefeuille réaliserait des ateliers, des séminaires de formation, des actions de sensibilisation, des campagnes de plantation d’arbres et d’assainissement, dans les 18 provinces du pays.
L'objectif est d'accroître les connaissances sur les bonnes pratiques en matière de préservation de l'environnement, mais aussi d'assurer une coexistence saine et durable entre l'homme et la nature.
La secrétaire d'État à l'Environnement, Paula Francisco, dans son discours, a déclaré que chaque citoyen a le devoir et le droit de participer à des activités de protection de la nature, de manière individuelle ou collective.
En matière de préservation du milieu ambiant, Paula Francisco a dit qu'il reste encore beaucoup à faire, mais il est possible, si nous sommes tous ensemble et de manière structurée, d’aspirer à un développement durable et harmonieux, en respectant l'environnement naturel.
Le 31 janvier, Journée nationale de l'environnement, célèbre la première semaine nationale de la conservation de la nature, commémorée du 26 au 31 janvier 1976.