Au terme d’un scrutin qualifié de « très difficile », le Premier ministre Fumio Kishida et son Parti libéral démocrate sortent victorieux, lit-on sur Le Point international.
Pas de révolution au Japon. À l’issue des élections législatives organisées dimanche 31 octobre au Japon, la coalition déjà au pouvoir semble sortir vainqueure, malgré un scrutin qualifié de « très difficile ». Selon les dernières estimations, publiées lundi 1er novembre au matin, le Premier ministre Fumio Kishida et son Parti libéral démocrate (PLD, droite nationaliste) perdent moins de sièges que prévu alors que l’élection s’annonçait comme un test majeur pour le pouvoir en place.
Au cours d’une conférence de presse organisée lundi matin, Fumio Kishida a salué la volonté des électeurs de voir perdurer « un gouvernement stable ». Il a fait ces déclarations après que le PLD et son partenaire, le Komeito (centre droit), ont remporté 293 des 465 sièges à la chambre basse du Parlement, selon les derniers décomptes des médias japonais.