Le commissaire africain défend une lutte serrée contre les abus sexuels sur mineurs
L'expert, qui s'adressait à la presse à l'issue d'une audience avec la ministre d'État aux affaires sociales, Carolina Cerqueira, a déclaré qu'il fallait mettre fin à l'esprit d'impunité, en responsabilisant des auteurs d'actes qui mettent en péril le bien-être social, les aspects psychosociaux et et émotionnels des enfants.
Selon Wilson Adão, entre 15 et 17 cas de viol et d'abus sexuel sur mineurs sont enregistrés quotidiennement à travers le pays, dont beaucoup impliquent des membres d'une même famille.
Wilson Adão a aussi souligné la nécessité d'augmenter les investissements dans des actions qui défendent les droits des enfants et favorisent leur bien-être, en particulier l'accès à des soins de santé primaires et à une éducation de qualité.
Il a rappelé que la protection des droits de l'enfant nécessite une action concertée entre l'Exécutif et la société civile, et qu'il n'appartient pas seulement à l'État d'assurer le bien-être des enfants, car chaque citoyen doit se sentir responsable et être un bastion pour la protection de plus vulnérables.
Concernant son travail en tant que commissaire africain, Wilson Adão a déclaré qu'au cours de son mandat, il cherchera à sensibiliser l'organisation à augmenter les investissements en faveur des enfants en Angola et à servir de pont pour la promotion de projets et d'actions dans le pays.
Il a annoncé que le 37e Sommet du Comité africain d'experts sur les droits et le bien-être de l'enfant se tiendra du 15 au 26 mars.
Pour sa part, la ministre Carolina Cerqueira a exprimé l'engagement du Gouvernement à promouvoir des actions et des projets qui contribuent au bien-être des enfants en Angola à travers des partenariats, en l’occurrence des institutions privées, la société civile et les églises.
Carolina Cerqueira a aussi manifesté sa préoccupation pour l'attention particulière qui devrait être accordée aux enfants au moment de la pandémie de Covid-19.
L'expert, qui s'adressait à la presse à l'issue d'une audience avec la ministre d'État aux affaires sociales, Carolina Cerqueira, a déclaré qu'il fallait mettre fin à l'esprit d'impunité, en responsabilisant des auteurs d'actes qui mettent en péril le bien-être social, les aspects psychosociaux et et émotionnels des enfants.
Selon Wilson Adão, entre 15 et 17 cas de viol et d'abus sexuel sur mineurs sont enregistrés quotidiennement à travers le pays, dont beaucoup impliquent des membres d'une même famille.
Wilson Adão a aussi souligné la nécessité d'augmenter les investissements dans des actions qui défendent les droits des enfants et favorisent leur bien-être, en particulier l'accès à des soins de santé primaires et à une éducation de qualité.
Il a rappelé que la protection des droits de l'enfant nécessite une action concertée entre l'Exécutif et la société civile, et qu'il n'appartient pas seulement à l'État d'assurer le bien-être des enfants, car chaque citoyen doit se sentir responsable et être un bastion pour la protection de plus vulnérables.
Concernant son travail en tant que commissaire africain, Wilson Adão a déclaré qu'au cours de son mandat, il cherchera à sensibiliser l'organisation à augmenter les investissements en faveur des enfants en Angola et à servir de pont pour la promotion de projets et d'actions dans le pays.
Il a annoncé que le 37e Sommet du Comité africain d'experts sur les droits et le bien-être de l'enfant se tiendra du 15 au 26 mars.
Pour sa part, la ministre Carolina Cerqueira a exprimé l'engagement du Gouvernement à promouvoir des actions et des projets qui contribuent au bien-être des enfants en Angola à travers des partenariats, en l’occurrence des institutions privées, la société civile et les églises.
Carolina Cerqueira a aussi manifesté sa préoccupation pour l'attention particulière qui devrait être accordée aux enfants au moment de la pandémie de Covid-19.